lundi, novembre 20, 2006

Le cauchemard de Darwin, notre realite



Voila un documentaire expetionnel où l’on retrouve ce commerce a trois visages.

L’exportation du perche du Nil introduit volontairement par la race humaine qui ne regrette guerre la disparition des milliers d’espèces tant que ce commerce international reste fructueux même s’il est aussi destructeur.

Cette exportation vers la Russie, L’Europe et le Japon…se fait via des avions cargos dont quelques pilotes se sont forges une réputation de violeurs et tueurs des jeunes africaines. Ces pilots de l’air qui st rien d’autres que des pions dans ce business apportent selon les dire de l’aide humanitaire sous sa forma la plus sanglante a savoir les munitions et les armes de guerres.

Qu’en est-il de la population tanzanienne quel profit tire t-elle de ce commerce si ce n’est l’afflux massif des chômeurs, des pauvres et des prostituées a la recherche d’un morceau de pain difficile d’accès d’où l’expansion de la violence, de la famine, de la prostitution, du sida…

Pire le perche de nil reste un poisson de luxe et le riz un produit rare faute de pluie abondante. Alors de koi se nourrissent les pauvres Tanzaniens si ce n’est de la pourriture de ce poisson dont on exporte les filets et dont on vend la carcasse pour un commerce intérieur. Un commerce employant femmes et enfants dans des conditions inhumaines en plein milieu des tonnes de ce poisson pourri que l’on met a sécher pour frire la tête et la vendre pour consommation interne.

Quelle est donc l’issue pour ces jeunes africains pour soulager leur peine et leur desepoir si ce n’est la drogue pour être submerge dans l’inconscient au moment ou l’on se fait violer, au moment ou l’on dort couvert sous la pluie. Etrange mais réel cette drogue est elle mm le fruit de ce commerce ; elle est obtenue a partir des caisses d’emballages du poisson.

Et puis pourquoi pas la guerre, L’armée paye bien et dans ce monde on n’a rien a perdre si ce n’est sa vie, mais quelle valeur donne t-on a la vie dans ses conditions ?

Le tout est pour vous dire que cette histoire réelle et amère me rappelle cette théorie de construction/ destruction si cher dans la philosophie asiatique ; hindoue en particulier. Plus on construit dans un sens et plus on détruit dans l’autre.
Dans cette logique, je ne peux pas m’empêche de me demander quelle conscience ont ces gens la qui s’enrichissant au deterimant de l’appauvrissement et la mort des millions d’autres êtres humains. Que faisons nous pr changer les choses si ce n’est rien. Et que ferions nous si on avait aussi les moyens que ces riches, on ferait la même chose qu’eux il y’a aucun doute. Mon seul espoir réside dans la théorie du cycle de vie un jour viendra ou l’Afrique remontera a la surface et dominera… et la encore malheureusement il y’a d’autre victimes d’autres genres peut etre mais qui souffriront autant. Est-ce ce que je souhaite aux riches de nos jours ? La reponse est Non, mais je ne peux contourner les règles de notre existance…