mercredi, mars 29, 2006

vivekânanda, une philosophie hindoue pas comme les autres (1ère partie)

Voici le résumé d’un livre sur la philosophie hindou des vedas.

I- De la nécessité à la religion

La religion est le plus grand facteur de cohésion des regroupements humais et ce depuis tjrs. On distingue le culte des esprits – Anciens Egyptiens notamment- (lié à la mort des proches et de ce qu’ils vont devenir) et le culte de la nature – anciens gemains, âryennes-
Le but de tte religion est d’atteindre un idéal qui ne peut se faire qu’avec les sens qu'on possède.
Des légendes comme celle du déluge, de Manou… expriment que l’âge actuel a connu une corruption et que toutes les religions s’efforcent à retrouver cet âge idéal antérieur.

II- De la nature réelle de l’homme

L’une des première leçon est que le corps n’est pas l’homme réel et l’esprit non plus, car lui aussi croît et décroît c l’âme qui est au-delà et peut vivre éternellement.

III- Mâyâ et l’illusion

- Le monde n’a pas d’existence absolue, il n’existe que par rapport à l’esprit. Tout être humain s’acharne sur la vie et ne peuvent pas y renoncer et ça c Mâyâ.
- Dans la nature le plus fort bat le plus faible et c Mâyâ. Nous ne sommes pas nés pr seconder la nature mais pr entrer en conflit avec elle.
- Lorsque ns augmentons notre pouvoir d’ê heureux, ns augmentons celui de la souffrance c Mâyâ.

IV- Mâyâ et l’évolution de la notion de Dieu

- Nous trouvons de nos jours que les anciens dieux de la Grèce, d’Egypte faisaient des choses répugnantes comme koi chacun doit ê jugé selon son propre idéal et non pas d’après celui de l’autre.
- Plus nous grandissons, plus les dieux aussi grandissent, l’homme primitif était fait d’impulsions il exécutait les idées qui lui venait à l’esprit sans se poser des questions. Avec le progrès des idées morales, un conflit intérieur se développa. La religion a résolu ce problème en commençant par « tu ne feras pas »
- Les premiers dieux étaient des buveurs, … adoraient les ancêtres, très vite on pouvait plus tolérer leur comportement et l’on s’inventa au-delà d’un dieu tt puissant un dieu moral presque omnipotent. Et l’on continua alors à se demander avec ce dieu tt puissant tt amour, des actes diaboliques se perpètrent, pkoi plus de malheur que de bonheur… ?
- L’Inde a tjrs favorisé la liberté du culte religieux, ce qui n’est pas le cas ds l’occident qui par contre a réussi la liberté sociale qui reste très condamnée par un tas de rituels et superstitions en Inde. Pour dire que la liberté est le meilleur chemin pr trouver la vérité.

V- Mâyâ et la liberté

- Chacun est venu ds ce monde pour combattre, nous sommes des esclaves de la nature, de notre corps, de notre esprit…
- Les gens font appel à la religion qu’en période détresse, de crise et d’effondrement… La religion commence par une haine profonde de tt ce qui mensonge, fraude…
- Les gens essaient de trouver ds la religion la voix de la liberté.
- Les religions monothéistes enseignent que la nature est Mâyâ et qu’il existe un Etre qui la gouverne.
- C là que commence le Védânta, qui cherche d’avantage d’explication sur cet être. Pour cette philosophie, dieu se trouve en chacun de nous et en chaque chose que nous voyons…

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