Jnâna yoga: pour changer un peu

Voici quelques extraits en vrac du livre jnâna yoga


1- Evolution de la notion de religion

La religion est le plus grand facteur de cohésion des regroupements humais. On distingue le culte des esprits et le culte de la nature. Le but de tte religion est d’atteindre un idéal et de se libérer de son corps, de son esprit…

Les religions se développent avec l’homme, l’homme primitif était fait d’impulsions; il exécutait les idées qui lui venait à l’esprit sans se poser des questions. Avec le progrès des idées morales, un conflit intérieur se développa. De même, les premiers dieux c’étaient des buveurs, … adoraient les ancêtres...très vite on pouvait plus tolérer leur comportement et l’on s’inventa au-delà d’un dieu tt puissant un dieu moral presque omnipotent. Et l’on continua alors à se demander avec ce dieu tt puissant tt amour, des actes diaboliques se perpètrent, pkoi tjrs autant de malheur ???
Les dualistes y compris les monothéistes se sont inventés l’enfer avec ses différents niveaux de châtiments pour les faiteurs du mal et le paradis ds lequel il y’aurait aucune souffrance ni pénuri. Ce paradis représente en effet les désirs et les besoins les plus profonds de ses créateurs, comme par exemple pr l’Islam initié ds les terres désertiques: ds le paradis, les gens jouiraient des jardins et des rivières… alors que pr un hindou qui est né dans un milieu où les inondations ont ravagé des agricultures et provoqué la mort de plusieurs centaines de personnes, le paradis ressemblerait à tt sauf à celui de l’islam.
Pour s'assurer d'aller au pradis certains pratiquant décident de se donner corps et âme tel que le sprêtres...
Or, la religion ne se trouve ni ds les livres, ni ds les temples, seul l’homme qui a perçu Dieu et l’âme s’aperçoit de l’existence de la religion. Elle vient de la réalisation véritable de l’âme.

2- L’advaîta

Pr cette philosophie dieu est présent en tt, en tt personne que nous connaissons, que nous croisons, il est aussi présent ds la vie, ds la mort. D’où l’appel à traiter les autres comme si c’était vous. Elle prêche également à l’abandon du désir, ce qui ne signifie pas de renoncer aux biens que l’on possède mais de comprendre la réalité qui est que la richesse n’appartient à personne.
Elle croit ds l’immortalité de l’âme qui a ni début, ni fin donc qui ne subit pas les lois de causalité.

A- le bien et le mal

Dans cette vie le bien et le mal n’en font qu’un seul, là où il y’a bonheur, il y’a le malheur. Pr un homme évolué, plus son intelligence s’ouvre, plus il prouvera de la joie ds les biens matériels, mais surtout ds les jouissances intellectuelles. Mais au mm temps ses nerfs affinés seront plus sensibles aux douleurs mentales.

B- Confiance en soi
Dans ttes les croyances, il y’a cette expression d’un désir de retour à cet état antérieur de pureté (Adam, Nirvana), alors qu’en vérité l’être est parfait, pur sauf qu’il se sent faible et par conséquent malheureux. Les hommes ont besoin d’être guidés par un être suprême parce qu’ils manquent de confiance en eux mm .
C- L’evolution

L’univers a tjrs fasciné les hommes, et les études scientifiques ont prouvé que tte chose est presque identique à son origine et à sa fin (la constitution des montagnes, des planètes y compris l’homme lui mm). Ceci ns apprend que l’évolution est précédée par l’involution et que tte chose existe de tt éternité et à jamais.
Avant de découvrir le monde extérieur, l’homme a besoin de connaître son intérieur, et là il faut éviter de penser que c la mémoire qui le constitue, combien d’entre nous se souvient de la première enfance ?!!! La connaissance ne s’acquiert que par l’expérience.

D- L’immortalité

La somme totale de l’énergie qui existe ds l’univers est constante. La combinaison des formes physiques que prend l’univers se répète éternellement, c comme si l’on jetais un dé trois fois et que l’on obtienne 4/6/2 si l’on continue de le jeter, il arrivera un moment où on retrouvera cette combinaison. Toutes les forces et toutes les formes st que le résultat des combinaisons.
La vie et la mort ne sont que l’avers et le revers de la mm médaille, la vie n’est qu’un autre nom de la mort.

E- les pratiques de l’advaîta

I- Le vedânta apprend en premier à avoir confiance en soir, à pouvoir tout faire. Le + gd pêché dit erreur est de se croire faible. L’Homme qui ne croit pas en lui est un ATHE.
Vous savez au plus profond de vous que bcp de vos idées st bornées, que les pleurs et les prières adressés à des êtres imaginaires st des superstitions.
Le livre n’est pas la preuve de votre conduite, c vs qui êtes la preuve du livre. Comment savez vs qu’un livre apprend enseigne la vérité ? parce que vs êtes la vérité et vs la sentez.

II- Tout ce qui a une forme et un nom est transitoire (terre, hommes…) d’où la négation de l’éternel ; du paradis.
Si les prêtres et les hommes de religion apprenaient aux hommes que dieu est impersonnel ils n’auraient plus rien à faire ce qui n’est pas de leur intérêt.
Renoncez à l’espoir car vs avez ttes les choses et que vs êtes ttes les choses.

III- Vaux mieux que l’humanité devienne athée en suivant la raison qu’en suivant aveuglement à 2 cents millions de dieux sur la foi de ce qu’a dit un homme.

VI- la cause du mal et la limitation de l’illimité

F- Une religion universelle

Rien n’a fait d’avantage que la religion pour la paix, l’amour, la fraternité, la construction des institutions charitables…et n’a rien fait d’avantage que la religion pour faire couler la sang…Si le dieu tt puissant voulait que la vraie religion devienne universelle, alors pkoi de nos jours autant de sectes existent encore ?!!! Pr dire que les tentatives d’amener l’humanité entière à penser de la mm façon ds le domaine spirituel ont échoué et échoueront.
L’advaîta espère qu’un jour existe autant de sectes que d’ê humain afin que chacun ait en religion une méthode personnelle.
Les religions du monde ne se contredisent pas, elles se complètent parce que chacune s’empare d’un élément de vérité. Dans l’islam, la fraternité prime ; une entraide mutuelle et un accueil à bras ouvert d’un nouveau converti ce qui n’est pas le cas ailleurs. Les hindous vous inculquent les notions de spiritualité et de renonciation. Chez les chrétiens c’est les actions de charité et de bienfaisance
Il faut pas apprendre à être tolérant qui sous entend que l’autre est ds l’erreur mais à admettre le point de vue de l’autre et l’accepter ds son intégrité.